Les causes de l’infertilité inexpliquée

On ignore les causes de l’infertilité inexpliquée. Sur les centaines d’étapes qui aboutissent à une grossesse réussie, il suffit qu’une seule soit perturbée pour provoquer une infertilité. Certaines des étapes du processus échappent même encore à la connaissance scientifique ; il se peut donc que certains facteurs d’influence ne soient pas encore bien saisis par les méthodes actuelles de diagnostic. L’infertilité peut également trouver son origine dans des causes qui demeurent invisibles tant qu’un cycle de FIV n’a pas été entrepris (par exemple l’échec d’une tentative de fécondation ou de nidation).

Symptômes et diagnostic

L’infertilité inexpliquée ne coïncide en général avec aucun symptôme en particulier. L’infertilité se définit par une incapacité à concevoir après un an de rapports sexuels non-protégés réguliers, et le diagnostic d’une infertilité inexpliquée est prononcé lorsque les tests de fertilité classiques, comme les scanners, les tests de perméabilité des trompes de Fallope et les analyses de sperme, n’ont pas permis de mettre le doigt sur une explication précise à l’infertilité. Ce diagnostic intervient généralement une fois qu’un certain nombre de pistes ont été explorées, sans issue concluante.

Choisir le traitement qui vous est le mieux adapté

L’insémination intra-utérine, ou IIU, fait partie des options recommandées pour traiter l’infertilité inexpliquée, et il a été montré que cette technique donne des taux de grossesses plus élevés que des rapports classiques. Un traitement de FIV représente également une option à considérer pour des couples souffrant d’infertilité inexpliquée ; la FIV enregistre en règle générale des taux de succès plus élevés que toutes les autres méthodes de traitement. Nos traitements de FIV sont conçus pour avoir un impact moindre sur l’organisme par rapport aux traitements conventionnels. Ils se caractérisent tous par une utilisation limitée de médicaments, voire par une absence totale de traitement médicamenteux, et ils entrent en synchronie avec le cycle menstruel naturel, avec une priorité donnée à la qualité – plutôt qu’à la quantité – des ovocytes et des embryons.